Le Marketing Relationnel, l’antivirus de la morosité ?

Quelles que soient les péripéties économiques, qu’elles soient conjoncturelles ou structurelles, le Marketing Relationnel échappe aux règles commerciales qui régissent généralement les entreprises. Tout se passe comme si les fluctuations des marchés n’affectent que de façon insignifiante la croissance de ces sociétés, telles LR Health & Beauty, qui ont opté pour un mode de distribution directe de leurs produits. On peut en déduire que si une entreprise n’est pas affectée par la conjoncture, ses partenaires ne le seront pas davantage …/…

Le Marketing Relationnel, l’antivirus de la morosité ?

Par déférence envers ceux que la crise actuelle a placé du mauvais côté de l’équation, j’hésite à rappeler ici le privilège qui est le mien d’écrire ces lignes en savourant un bon café, en habit de sport, au chaud, la fenêtre ouverte sur un jardin où les oiseaux rivalisent de vocalises ! Il me paraît presque indécent de relever que mon « capital privilège » a doublé grâce au confinement. Je travaille chez moi. A l’immense chance d’éviter d’avoir à me réveiller à une heure fixe et non choisie, s’ajoute celle d’être dispensé d’avoir à affronter des milieux professionnels exposé aux éternuements de mes congénères.

On le sait, lorsque l’activité économique traverse une période de croissance sereine, sans accroches et quasi routinière, comme ce fut le cas ces dernières années, les entreprises bien établies continuent à fonctionner et ne laissent guère d’espace pour y insérer de nouveaux business.

Que survienne une crise – celle du coronavirus en est une particulièrement violente – et les modèles en place se fissurent, craquent et parfois se disloquent. Dans ces moment-là, il ne fait pas bon être à l’intérieur de l’édifice qui s’écroule.

Le meilleur ou le pire ? A nous de choisir

On mesure la gravité des grands bouleversements au nombre de victimes qu’ils provoquent. Un de mes amis, disquaire dans les années 2000, a vécu l’avènement de Spotify comme un tsunami, funeste pour son entreprise. Un autre, gérant d’une agence de voyages, n’a pas vu déferler la vague internet et a dû lui aussi fermer boutique. Avec le recul des ans, il serait facile aujourd’hui de dire à l’un comme à l’autre qu’ils n’ont pas su appréhender la révolution informatique, qu’ils auraient pu prendre les devants, faire preuve de réactivité, s’adapter sans attendre ; ce n’est pas lorsque le bateau coule qu’il faut apprendre à nager… Aisé, après coup, de jouer les faux prophètes, aisé mais surtout improductif. La sagesse voudrait que l’on s’abstienne de les juger mais que l’on retienne la leçon de leur imprévoyance et évitions de tomber dans la même ornière.

L’urgence est à l’audace

La réalité est inexorable : plus les crises sont violentes, plus elles laissent de place aux initiatives créatrices. Sur les ruines poussent les opportunités et des ruines, ce qui est certain, c’est que le coronavirus va en laisser. Les grandes douleurs sont encore à venir.

Or une crise est douloureuse et rend sensible à ce qui ne l’était pas, mais elle a ceci de vertueux qu’elle enflamme l’imagination et pousse à l’audace. Elle fait du bien là où ça fait mal !

Malheureusement, nous n’avons pas le choix et n’éviterons pas l’injonction d’une sérieuse remise en question. Nous sommes au milieu d’une situation qui pour certaines professions est d’ores et déjà catastrophique et il est impératif que nous réfléchissions aux moyens d’en sortir du mieux que nous pouvons. Dans l’urgence, car l’attentisme se paie cash.

A l’heure où il est certain qu’elles vont être redistribuées, avons-nous vraiment considéré les cartes que nous avons en main ? Et dans ce jeu, quels sont nos atouts ? En voici un petit florilège…

Le MLM : un atout majeur pour l’indépendance financière

– En période d’incertitude, une activité en MLM (Marketing relationnel) se révèle d’autant plus précieuse. Même si, dans sa phase  de démarrage, elle n’est que complémentaire et que les revenus qu’elle génère nous paraissent insuffisants, elle offre au moins l’assurance d’amortir le choc en cas de licenciement ou de faillite. Constat encourageant : tous les compteurs le montrent, la cote du MLM est aujourd’hui en hausse et nous, partenaires d’une entreprise telle LR, sommes particulièrement bien positionnés au sein du peloton des candidats à la réussite.

Saisir l’opportunité

– Chacun de nous possède déjà les compétences pour démarrer cette activité qui repose sur la satisfaction partagée. Notre société MLM  est saine, son plan marketing est un exemple, ses produits concurrencent tout ce qui se fait sur le marché de la santé et du bien-être et nous avons la chance d’être les partenaires d’une entreprise florissante. Nous ne partons pas de zéro, tout est déjà en place, les outils ne demandent qu’à être utilisés. Dans les circonstances actuelles, quel esprit sensé refuserait une « activité clé en main » ?

Le temps : matière première pour construire son réseau MLM.

– Les bouleversements que le coronavirus entraîne laissent, à la plupart d’entre nous, davantage de temps libre. Et le temps, justement, est le principal matériau de la réussite. Il ne tient qu’à nous de le mettre à profit, de façon optimale, pour qu’il se transforme en revenus.  28 % des Suisses s’adonnent, au moins occasionnellement, au travail à domicile. Ce nombre ne fait que croître, mais il y a fort à parier que la crise sanitaire actuelle, avec son confinement, va donner un grand coup d’accélérateur à cette tendance. Préparons-nous à accueillir tous les nouveaux venus. Mieux que cela : allons les chercher et invitons-les à nous rejoindre.

Le travail à domicile : une solution pour tous

– S’il existe un type de business qui connaîtra, dans les mois à venir, une forte progression, c’est bien celui du travail à domicile. Nous n’avons pas d’excuse à dédaigner cette opportunité. Lâchons la bride de notre imagination, pensons ce challenge, optimisons l’usage que nous pouvons faire des vidéos, des médias sociaux et des visioconférences.

J’aime imaginer que dans une dizaine d’années, nos enfants ou petits-enfants, étudiant la période actuelle durant les leçons d’histoire, nous demanderont : « Et toi, qu’est-ce que tu faisais durant la pandémie de 2020 ? »

Je vous suggère cette réponse :  » la pandémie de 2020 ? Ah oui, j’y étais. C’est même à ce moment-là que j’ai pris la décision de développer à fond mon activité LR. »

Bertrand Freymond