À qui s’adresse l’opportunité de créer sa propre activité en MLM ?
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À ce salarié qui a atteint le plafonnement de sa « carrière professionnelle » et qui n’entrevoit aucune amélioration substantielle de sa situation.
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À cette retraitée dont la pension a douloureusement restreint son train de vie
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À ce couple, qui a un rêve à réaliser et qui ne sait comment le financer
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À cette maman au foyer, qui ne veut pas sacrifier sa vie de famille en reprenant un travail
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À cette personne qui ambitionne de créer sa propre activité indépendante
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À cet étudiant qui a besoin de financer ses études
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À ce coach qui veut se doter d’outils supplémentaires pour mieux accompagner ses clients
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A tous ceux qui endurent la pénibilité de leur travail
Préjugés à propos du MLM
Il existe peu d’activités commerciales qui font l’objet de tant d’idées fausses et d’aprioris que le Marketing de Réseau.
1. Le MLM est un
système pyramidal !
Plusieurs raisons contribuent à créer une image négative d’une activité par ailleurs parfaitement légale, la principale étant qu’elle est souvent confondue avec un système pyramidal.
La vente pyramidale
La vente pyramidale, il faut le rappeler, est une escroquerie dans laquelle les revenus (qui ne profitent réellement qu’à ceux qui ont lancé le système) proviennent essentiellement du recrutement de nouveaux membres. L’exemple le plus connu est le jeu de l’avion qui refait régulièrement surface sous d’autres appellations, comme cercle de dons, randonnées, bulle, etc… Seuls en profitent les premiers arrivés et le système s’écroule dès que le flot des nouveaux arrivants se tarit.
Le MLM n’est pas pyramidal !
Dans le public beaucoup confondent le Marketing de Réseau et la vente pyramidale. Cependant des différences fondamentales entre ces systèmes permettent à certains pays d'interdire la vente pyramidale alors que la vente multiniveau est légale (par exemple en France, avec le statut de « Vendeur à domicile indépendant VDI)
2. Adhérer au MLM, c’est comme entrer dans une secte !
Incroyable mais vrai, il arrive que certaines personnes, méconnaissent à ce point la réalité du MLM, qu’elles en viennent à agiter la menace de la manipulation des esprits, de la sujétion psychologique à des financiers sans scrupules, bref de la dérive sectaire !
Que répondre, sinon qu’une secte n’a pas pour vocation de redistribuer de l’argent à ses membres, ce qui est le cas des compagnies de MLM.
3. Le MLM ne permet pas vraiment de s’enrichir
Gagner beaucoup d’argent, rapidement et en restant dans son fauteuil... Beaucoup en rêvent et rares sont ceux qui y parviennent. Restons sérieux ! Pour réussir dans ce secteur, la persévérance sera donc une qualité, parmi d’autres, incontournable.
Il en va en MLM comme dans toute activité indépendante : un cuisinier, qui veut tenter l’aventure en ouvrant un restaurant, avant de commencer à bien gagner sa vie, devra fidéliser sa clientèle. Cela lui demandera du temps. Lorsque de grands artistes, comme Georges Brassens ou Jacques Brel, ont décidé de se lancer dans la chanson, ils ont mangé de la viande enragée pendant des années avant de connaître le succès et vendre des millions de disques.
Un salaire est fixé par l’employeur et n’évolue quasiment pas au fil des ans. Un revenu passif se construit. Il est à l’image de notre engagement et évolue constamment avec le temps. En cela, il est illimité. Jamais une compagnie de MLM ne dira à son partenaire « désolé, vous gagnez suffisamment, nous allons plafonner vos revenus ».
Une personne débutant en MLM se constituera dans un premier temps un revenu d’appoint. Elle pourra, si elle le souhaite, poursuivre son engagement jusqu’à la complète autonomie financière, car son activité générera suffisamment d’argent pour la libérer de toute contrainte liée à un contrat avec un employeur.
4. MLM = Vente de produit, Il faut vendre des produits.
Non, le MLM bien pensé ne consiste pas à vendre des produits, à faire du démarchage au porte à porte ou par téléphone ni à organiser des réunions de vente à domicile. La clé de la réussite en MLM, c’est le parrainage, la construction d’un réseau avec des personnes qui acceptent de changer leurs habitudes de consommation et qui sont sensibles à un modèle commercial de distribution équitable.